mardi 8 août 2017



Une nuit fragmentée d'aciers bleus. D'errances en érosions, entre le frisson et la foudre, des peaux mortes vivent encore sous les ongles. Un peu de ciel pur caché dans ses yeux, là, juste en arrière d'où ça se trouble. Nous sommes les prémices d'un avenir encore incertain. Que des traces de pieds nus, des ornements dans le sable que la mer efface. Que des élans et des transports, les spasmes d'échos déchaînés d'un Éros hurlant dans les canons conjugués, dans un lit aux mille parfums nus, un pour chaque geste dans les entrelacs fulgurants des symbioses. Au plus profond de la solitude de l'encre, vouloir à même les ténèbres la beauté. 
















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