jeudi 19 juillet 2012

Seulétude (suite)

Le sens des choses en ataraxie désaxée. Ne voir ni les parts ni l'ensemble. L'espacetemps dépareillé. Le frôlement défait les phrase perdues dans l'obtuse distance. L'être fini parmi les formes. Une ivers in fini. Le vertige défile sur les cimes altières dans les hauteurs audessus des précipices. Marcher sur les flancs d'une vie, le trépas dans la crachée. Les défauts tranchent la fracture des hontes. Déserté des refus, tout happe et s'écroule, le déplacement des autres en de ruines immobilités. Dévoile les stries de l'iris aveugle des nuages. Coup de vent. Devant les cumeuses marées des tumeurs, des morts lointaines. Ce n'est pas la souffrance, c'est l'indifférence. Dépossédé. La volonté assoupie, le mat terne des tombes. L'espéré lapidé d'un coup de paupières. Trauma neigeux du sommeil. Qui ne vient pas. L'or cède au bronze, au cuivre des pauvres, à l'alcool ferreux de l'espoir dégorgé des fièvres. Toutérien se déploie dans l'ordre déchiré de la spirale. Le verbe du temps des jours désordonné en impossibilités. Dans l'essai une liberté. Les vérités comme de la rosée d'ombre éphémère s'empêtrant dans les racines des désirs et des élans trompeurs.

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