à respirer dans l'air de ce printemps précoce alourdi du poids des luttes d'un côté bottes de ciment tête droite coeur battant en rythme empanaché d'idéal dans l'indifférence du dieu Mars et des autres révoltespoir et de l'autre langue de bois des matraques et la vacuité d'un langage incompréhensible suranné empreint de mauvaise foi injustice nulle part ne me reconnais plus impression de l'homme moderne réduit au plus petit dénominateur son nombril
mardi 20 mars 2012
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